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Les Ti bonheurs de Delph

Tout droit vers le bien-être et la simplicité ! De l'info psycho, des exercices pratiques, des remèdes "magiques" et une boutique en ligne ! enfin !!!


Bel exemple de résilience

Publié par Delphine Basson Psychologue sur 4 Février 2015, 10:46am

Catégories : #Biblio

Voici le message que j'ai reçu ce matin par l'intermédiaire du blog. Sylvie Hippolyte nous fait connaitre son livre autobiographique "Les jeudis muets, moi, Fina, enfant du divorce".

Le témoignage d'une enfance difficile et un bel exemple de résilience.

Je vous souhaite une belle vie remplie de magie, Sylvie Hippolyte, beaucoup de bonheur dans cette belle petite cité de caractère qu'est Piriac-sur-mer, que j'affectionne tout particulièrement.  (de nombreux souvenirs à l'hôtel de la plage !!!)

 

 

Ce message vous est envoyé par un visiteur grâce au formulaire de contact accessible en bas de page de votre blog:delphinebassonpsychologue.over-blog.com 

Livre Les jeudis muets Sylvie Hippolyte

 
"Madame,
Dans un livre intitulé Les jeudis muets, sous-titré Moi, Fina, enfant du divorce, je témoigne de mon enfance perturbée par la séparation conflictuelle de mes parents. 
Ma mère, à qui nous avons été confiées, mes deux sœurs et moi, avait décidé de se venger de son ex-mari en lui confisquant ses filles et en se servant de celles-ci pour alimenter sa haine et contribuer à le détruire. Elle a mené un combat acharné pour le faire sortir de notre vie. Elle ne communiquait avec nous que par la violence verbale et gestuelle pour nous plier à ses règles et nous faire payer l'échec de son union avec lui. Toute la branche paternelle a été évincée. 
Suffisamment intelligente pour tromper son entourage, sa violence n'a été démasquée ni par la famille, ni par les amis, ni par la justice. Aucun moyen n'a été mis en place pour nous protéger de leurs conflits. 
Dans Les jeudis muets je décris les violences psychologiques dont nous avons été victimes, mon parcours semé de difficultés dans les apprentissages scolaires fondamentaux, de désordres dans le comportement, de culpabilité, dégoût de soi, manque de confiance en l'avenir, l'absence de regard extérieur, la mise en œuvre de stratégies pour supporter l'insupportable, ma réadaptation progressive avec des découragements, mais aussi en m'appuyant sur des personnes ressources. J'ai lu sur votre site : "Mon activité : La Psychologie du Bonheur", j'ai cherché le bonheur à tout prix et je l'ai trouvé après ces années noires.
Les jeudis muets dénoncent la maltraitance physique et psychologique silencieuse qui peut s'exercer par le parent gardien sur les enfants du couple après une séparation parentale. J'ai appris à mes dépens que les violences psychologiques qui ne se pratiquent pas dans cette seule circonstance, sont difficiles à détecter parce qu'elles ne laissent pas de traces et que, pour cette raison, elles nécessitent toute la vigilance des professionnels de l'Enfance. Personne ne sait ce qu'il se passe derrière une porte fermée. Quand la porte est fermée, à l'intérieur tous les pouvoirs, toutes les violences psychologiques, tous les abus sur les enfants sont permis et insoupçonnables.
Une critique des Jeudis muets est parue dans la revue Lien Social, dans le n° 1147 du 18 septembre dernier.
Si mon livre attire votre attention et celle de vos interlocuteurs, je vous propose d'en savoir plus sur le site :
http://jeudismuets.forumactif.org
Vous trouverez sur ce site une présentation des Jeudis muets, des extraits, quelques commentaires, les informations pratiques pour se procurer ce livre.
Je vous remercie de l'intérêt que vous porterez à ce courrier et vous prie de croire, Madame, en l'assurance de toute ma considération.
Sylvie Hippolyte"

 

 

 

"Ce livre, elle veut l'adresser aux couples qui choisissent de se séparer, aux juges qui décident de la résidence des enfants, aux enquêteurs, aux enseignants, psychologues, éducateurs et leur dire :

 « Ouvrez les yeux, observez, décidez en toute connaissance, ne traitez rien à la légère. L'enfant n'est pas un bien dont on dispose »."   extrait de l'article de Ouest France

 

 

 

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